Dis-moi Seigneur
Dis-moi Seigneur,
que fais-tu de nos pensées
lorsqu'elles sont tellement violentes
qu'elles nous font tituber ?
Que fais-tu, les yeux tournés vers demain
lorsque la nuit s'arrête pour nous, et qu'il ne reste rien ?
Juste nous
seulement nous
nous et nos pensées
nous et nos regards éperdus
Comme ceux de l'enfant qui ne comprend pas ...
Dis-moi, Seigneur
que fais-tu face à ces crimes
que l'homme essaie d'humaniser ?
Face à ces gosses qui hurlent d'avoir trop cru en toi
avec quel optimisme leur dire de continuer à avoir la foi ?
avec quelles larmes, quelles révoltes, quels mots, dis-moi ?
Face à la douleur, Seigneur
la vraie,
celle qui est palpable et qui consumme nos espoirs
et brise le sourire des enfants
lorsque les jours sont trop longs
et que nos illusions se meurent
face à un monde qui n'est monde que de nom
... la réalité nous poignarde le coeur
Portes-tu des oeillères
qui t'aveuglent du monde
niant la misère de ce foutoir immonde ?
Non, je ne peux être gaie
je ne sais plus sourire
je ne sais oublier... qu'il y a comme un délire.
Ils sont tristes mes mots
et mon âme révoltée
mon coeur est assoiffé de solidarité
... mais ne peut nier ce monde que tu as créé
et que les hommes ont saccagé.
que fais-tu de nos pensées
lorsqu'elles sont tellement violentes
qu'elles nous font tituber ?
Que fais-tu, les yeux tournés vers demain
lorsque la nuit s'arrête pour nous, et qu'il ne reste rien ?
Juste nous
seulement nous
nous et nos pensées
nous et nos regards éperdus
Comme ceux de l'enfant qui ne comprend pas ...
Dis-moi, Seigneur
que fais-tu face à ces crimes
que l'homme essaie d'humaniser ?
Face à ces gosses qui hurlent d'avoir trop cru en toi
avec quel optimisme leur dire de continuer à avoir la foi ?
avec quelles larmes, quelles révoltes, quels mots, dis-moi ?
Face à la douleur, Seigneur
la vraie,
celle qui est palpable et qui consumme nos espoirs
et brise le sourire des enfants
lorsque les jours sont trop longs
et que nos illusions se meurent
face à un monde qui n'est monde que de nom
... la réalité nous poignarde le coeur
Portes-tu des oeillères
qui t'aveuglent du monde
niant la misère de ce foutoir immonde ?
Non, je ne peux être gaie
je ne sais plus sourire
je ne sais oublier... qu'il y a comme un délire.
Ils sont tristes mes mots
et mon âme révoltée
mon coeur est assoiffé de solidarité
... mais ne peut nier ce monde que tu as créé
et que les hommes ont saccagé.
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